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Pêcheur sur un Kayak au milieu de l'eau

Quel kayak choisir pour la pêche ?

Quel kayak choisir pour la pêche ? Bien choisir son kayak pour la pêche dépend de l’usage, des besoins spécifiques ou encore de l’endroit où l’on pratique.   Pour la majorité des pêcheurs, le meilleur choix serait un kayak rigide sit-on-top à pédales, d’une longueur de 3,5 à 4,2 mètres, doté d’une bonne stabilité primaire et secondaire, avec un siège surélevé réglable, des rails de fixation (type GearTrac), et une capacité de charge supérieure à 180 kg. Les modèles les plus recommandés sont le Hobie Mirage Outback, le Old Town Sportsman PDL 120 et le FeelFree Lure 11.5 V2. Pour les petits budgets : Decathlon Itiwit X500 (gonflable) ou Pelican Catch 100 (rigide à pagaie). Découvrez l’analyse complète. Hugo Da Cunha Aventurier & Blogger 1. Les types de kayaks adaptés à la pêche 🛶 Kayak rigide vs gonflable : avantages, inconvénients et usages recommandés Critère Kayak rigide (polyéthylène) Kayak gonflable (Dropstitch) Robustesse ⭐⭐⭐⭐ (excellente) ⭐⭐ (bonne mais sensible) Glisse / performance ⭐⭐⭐⭐ ⭐⭐ Stabilité debout ⭐⭐⭐⭐ (modèles adaptés) ⭐⭐ Poids / transportabilité ⭐⭐ (lourd) ⭐⭐⭐⭐ (léger, compact) Durée de vie ⭐⭐⭐⭐ (10-20 ans) ⭐⭐ (5-8 ans avec soin) Facilité de stockage ⭐ (encombrant) ⭐⭐⭐⭐ (dans un sac) Adapté à la mer / grands lacs ✅✅✅ ✅ (mer calme uniquement) Prix moyen 800–2 500 € 500–1 200 € Le kayak rigide (polyéthylène rotomoulé) Les avantages : Solidité exceptionnelle : le polyéthylène rotomoulé résiste aux chocs, frottements sur les rochers, racines, quais ou graviers. Excellente glisse : sa forme rigide permet une meilleure pénétration dans l’eau, donc une vitesse et une stabilité directionnelle supérieures, même chargé. Stabilité primaire et secondaire accrues : important pour les pêches où l’on se tient debout, lance loin, combat des gros poissons, ou pour la pêche en mer. Durée de vie : un kayak rigide bien entretenu peut durer 10 à 20 ans. Les inconvénients : Encombrement : difficile à stocker si on vit en appartement ou sans garage. Poids : un kayak rigide de pêche peut peser entre 25 et 50 kg. Il faut donc penser au chariot de transport et à la remorque si besoin. Transport : nécessite barres de toit, pick-up ou remorque, surtout pour les modèles > 3,5 m. Il est recommandé pour : Pêche en mer ou grands lacs. Utilisation régulière ou semi-pro. Pêche en stand-up (debout). Environnements exigeants (rochers, courant, vent).   Le kayak gonflable haute pression (Dropstitch) Les avantages : Transport ultra simple : se range dans un sac, rentre dans un coffre de voiture ou un placard. Poids plume : souvent entre 12 et 20 kg, facile à porter seul. Installation rapide : gonflage en 5 à 10 minutes avec une pompe double action. Souplesse : idéal pour les pêcheurs occasionnels, débutants, ou ceux en zones urbaines. Les inconvénients : Moins de rigidité malgré le Dropstitch : perte de performance sur la glisse et la précision de navigation. Moins stable debout : pas adapté à la pêche debout ou en mer agitée. Durabilité : plus vulnérable aux coupures, aux UV, aux erreurs de rangement (mouillé = moisissures). Accessoirisation plus limitée : peu de rails, d’options pour fixations sondeur ou moteurs. Il est recommandé pour : Petits plans d’eau calmes. Déplacements fréquents sans véhicule adapté. Débutants ou usage occasionnel. Environnement urbain ou minimaliste. 🪑 Sit-on-top vs sit-in : lequel choisir pour la pêche ? Critère Kayak rigide (polyéthylène) Kayak gonflable (Dropstitch) Accessibilité / sécurité ⭐⭐⭐⭐ (très accessible) ⭐⭐ (technique en cas de chute) Pêche debout ⭐⭐⭐⭐ (selon modèles) ⭐ (rare) Protection contre le froid ⭐⭐ ⭐⭐⭐⭐ (très bonne) Accès au matériel ⭐⭐⭐⭐ ⭐⭐ Adapté à la pêche ✅✅✅ C’est le standard ✅ (rivières froides, niche) Compatibilité accessoires ⭐⭐⭐⭐ (rails, porte-cannes…) ⭐⭐ Sit-on-top (kayak auto-videur) Les avantages : Accès total au matériel : pas de cockpit fermé, tout est à portée de main. Facile à monter/descendre, même en plein milieu d’un lac ou en mer. Auto-videur : grâce à des trous d’évacuation (scupper holes), l’eau de pluie ou les éclaboussures s’écoulent naturellement. Plus large donc plus stable : permet souvent la pêche debout. Idéal pour installer des équipements : sondeur, porte-cannes, ancre flottante, batteries, etc. Les inconvénients : Plus exposé au vent et aux éclaboussures. Moins adapté aux eaux très froides sans combinaison. Il est recommandé pour : 99 % des usages pêche, eau douce ou salée. Pêcheurs débutants ou expérimentés. Environnements nécessitant du confort, de l’espace et de la sécurité. Sit-in (cockpit fermé) Les avantages : Protection contre le froid : jambes au sec, possibilité d’ajouter une jupe pour l’étanchéité. Profil plus hydrodynamique : plus étroit, donc plus rapide à la pagaie. Centre de gravité plus bas : meilleure stabilité secondaire en eaux vives. Les inconvénients : Difficile d’accès au matériel sans tout sortir du cockpit. Re-montée quasi impossible en pleine eau sans technique d’esquimautage ou d’aide. Inadapté à la pêche debout. Moins de compatibilité avec accessoires modernes. Il est recommandé pour : Rivières froides ou torrents, usage très spécifique. Pêche légère en mode minimaliste (truite, rivière peu profonde). Kayakistes expérimentés en milieu très technique. Extension : • Ce type de kayak n’est pas totalement imperméable à l’eau. Il est possible d’utiliser une jupe pour protéger l’ouverture de ce kayak des embruns (gouttelettes projetées par le vent et les vagues) et du roulis (oscillement gauche/droite du kayak). 2. D’autres aspects essentiels à considérer ▸ Longueur & largeur 3,2 à 3,8 m : compromis maniabilité/stabilité (idéal rivière, lac). > 4 m : meilleure glisse, idéal mer ou longues distances. Largeur > 80 cm = bonne stabilité pour pêcher debout. ▸ Propulsion : pagaie, pédales ou moteur Pagaie : plus économique, silencieux, mais fatigue plus vite. Pédales (MirageDrive, PDL, Propeller) : libère les mains pour pêcher, très efficace pour lutter contre vent et courant. Moteur électrique (option) : utile en eau salée, mais nécessite batterie, encombrement, réglementation. ▸ Stabilité & confort Siège réglable en hauteur et inclinable : pour le confort sur des sessions longues. Fond plat ou double pont pour pêcher debout. Repose-pieds ajustables, plateforme antidérapante. 3. Les accessoires incontournables à

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Equipement, randonner en Hiver

Top des équipements pour la randonnée en hiver

Top des équipements pour la randonnée en hiver La randonnée, une tradition ancrée dans l’histoire La randonnée hivernale trouve ses origines dans les besoins essentiels des peuples montagnards. Pendant des siècles, traverser des paysages enneigés n’était pas un choix, mais une nécessité. Dans les Alpes, les premiers bergers utilisaient des sentiers enneigés pour accéder à des villages isolés, tandis qu’en Sibérie, les chasseurs s’appuyaient sur des raquettes rudimentaires pour suivre la trace de leur gibier. À l’époque, il ne s’agissait pas de loisirs, mais de survie.   Avec le temps, cette pratique s’est transformée. À partir du XIXe siècle, l’essor de l’alpinisme a popularisé l’idée d’explorer les montagnes en hiver, non plus par obligation, mais par passion. Aujourd’hui, cette tradition perdure, portée par un désir d’évasion et une quête de défis personnels. Mais la montagne hivernale reste exigeante, et pour s’y aventurer en toute sécurité, disposer d’un équipement adapté est indispensable. Dans cet article, nous allons passer en revue les principaux équipements pour la randonnée en hiver, ceux qui allient performance et confort, pour que chaque sortie soit une réussite. Les essentiels pour une randonnée hivernale réussie Bien choisir ses vêtements : la règle des 3 couches expliquée Lorsqu’il s’agit de s’équiper pour une randonnée hivernale, la règle des trois couches est incontournable. Nous avons tous expérimenté ces moments où le vent glacial traverse nos vêtements ou où la transpiration finit par nous refroidir. La superposition intelligente des vêtements permet d’éviter ces désagréments : La couche de base : en contact direct avec la peau, elle doit être respirante pour évacuer l’humidité. La laine mérinos ou les fibres synthétiques comme celles proposées par Icebreaker ou Odlo sont idéales pour garder notre peau sèche. Cette couche technique est  l’un des 1ers investissements à faire pour parer au froid hivernal. La couche intermédiaire : elle assure l’isolation thermique. Une polaire légère ou une doudoune en duvet (comme celles de Patagonia) est parfaite pour retenir la chaleur corporelle. La couche extérieure : elle nous protège des éléments comme la neige ou le vent. Une veste imperméable avec une membrane Gore-Tex est un investissement incontournable, surtout si nous affrontons des conditions changeantes comme celles du massif des Écrins en janvier. Pourquoi investir dans des chaussures adaptées à la neige et au froid ? Nous savons à quel point des chaussures inadaptées peuvent gâcher une randonnée. Pour progresser sur des sentiers enneigés ou glacés, il est crucial d’opter pour des chaussures spécialement conçues pour les conditions particulières de l’hiver. Imperméabilité : des modèles équipés de membranes comme le Gore-Tex empêchent l’eau de pénétrer tout en permettant à nos pieds de respirer. Isolation thermique : des chaussures comme les Salomon X Ultra Winter CS garantissent des pieds chauds, même à -15°C. Adhérence : sur la glace ou la neige tassée, les semelles Vibram offrent une accroche incomparable, limitant les glissades sur les pentes verglacées du Jura. Matériel de sécurité : ce qu’il faudrait toujours avoir en montagne en hiver Les indispensables pour prévenir les risques d’avalanche Partir en montagne en hiver, c’est accepter de composer avec les risques. Nous avons appris, parfois au prix d’histoires marquantes, que les avalanches peuvent survenir même sur des itinéraires réputés sûrs. Voici trois outils essentiels :   DVA (Détecteur de Victimes d’Avalanche) : Cet appareil, indispensable, émet des signaux qui permettent de localiser une personne ensevelie. La marque Arva propose des modèles fiables et faciles d’utilisation. Pelle : En aluminium pour la robustesse, elle permet de dégager rapidement une personne prise sous la neige. Sonde : Avec une longueur de 240 cm, elle est parfaite pour localiser avec précision une victime sous la neige. Ces outils ne servent que si nous savons les utiliser. Il faut se former et idéalement participer à une formation spécifique avant de s’aventurer dans des zones à risque. Comment utiliser une lampe frontale et des crampons efficacement ? En hiver, la lumière décline vite, et une lampe frontale devient indispensable. Nous privilégions des modèles comme la Petzl Actik Core, avec une puissance d’au moins 300 lumens pour voir et être vus. Pour les crampons, une attention particulière doit être portée à leur compatibilité avec nos chaussures. Lors de sorties dans le Queyras, nous avons constaté que des crampons mal ajustés pouvaient rendre les déplacements périlleux. Accessoires qui font la différence : petits équipements, grand confort Bâtons de randonnée : pourquoi sont-ils essentiels en hiver ? Les bâtons, souvent sous-estimés, sont pourtant nos meilleurs alliés sur des terrains instables. Ils nous permettent de stabiliser nos pas et de répartir l’effort, surtout lorsque nous progressons dans de la neige fraîche. Des modèles télescopiques équipés de rondelles larges, comme ceux de Leki, évitent que les bâtons ne s’enfoncent trop profondément. Les meilleurs thermos et gourdes isothermes pour vos sorties En hiver, il est vital de rester hydraté, même si nous avons moins soif. Les gourdes isothermes comme celles de Thermos ou Stanley permettent de garder nos boissons chaudes pendant plusieurs heures. Un thé bien chaud au sommet d’un col enneigé, comme celui du Lautaret, nous redonne souvent l’énergie nécessaire pour redescendre. Le matériel d’orientation, un must-have Elle est loin l’époque où les premiers explorateurs s’orientaient à la lueur des étoiles. Les boussoles, les cartes, les gps et les applications comme Visorando sont ensuite arrivés et remplissent toute la même fonction : se repérer sur un itinéraire et garder le cap. Dans les endroits isolés perturbés par des froids implacables, ces outils précieux évitent de se perdre et de geler sur place. Parfois, les balisages sur les sentiers ne suffisent pas. Sac à dos parfait pour l’hiver : que mettre dedans ? Un sac à dos adapté à l’hiver doit être à la fois robuste, spacieux et ergonomique. Nous privilégions des modèles avec des sangles permettant d’attacher des raquettes ou des piolets, et un volume d’au moins 30 litres pour emporter tout le nécessaire : Une couverture de survie Des chaufferettes pour les mains et les pieds Une trousse de premiers secours Un kit de réparation d’urgence (ruban

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Quel équipement ski hors-piste choisir ?

Quel équipement ski hors-piste choisir ?

Quel équipement pour le ski hors-piste ? Découvrez toutes les informations pratiques à connaître sur l’équipement essentiel pour réussir votre pratique du hors-piste en toute sécurité. Découvrez également l’explication détaillée de la procédure anti-avalanche de niveau 1 destinée aux novices. A la fin de l’article, accédez à plus d’informations sur les autres paliers existants de la procédure anti-avalanche (intermédiaire, avancé et expert). Choisir le bon équipement pour le ski hors-piste. Quels skis pour le freeride? → Choisir la bonne largeur de skis. Les skis hors-piste doivent être suffisamment larges pour augmenter l’effet de portance et vous maintenir hors de la neige. Autrement dit, la flottabilité en neige profonde et molle est meilleure avec des skis larges. Également, ces derniers vous offriront plus de stabilité à grande vitesse. → Choisir la bonne longueur de skis. Dans le cadre du ski hors-piste, il est généralement recommandé de choisir des skis dont les mesures équivalent à votre taille.   Si vous vous sentez solide sur vos cuisses et à l’aise sur tout type de neige, vous pourriez vous tourner vers des skis 10 à 20 cm plus longs que votre taille, ce qui va augmenter l’effet de flottaison (ou portance) des skis. Ainsi, vous pourrez augmenter vos performances de glisse et vous aventurer dans les terrains encore plus techniques.   Avantage des skis longs : Plus de stabilité à grande vitesse. Meilleure portance et flottabilité dans la neige profonde. Meilleure performance en descente sur terrains raides et techniques. Convient aux skieurs expérimentés et à ceux qui aiment la vitesse. Pour les débutants et afin de gagner en manœuvrabilité, nous vous recommandons d’opter pour des skis légèrement plus petits que votre taille. Ils vous offriront plus d’aisance sur les pistes et vous aurez plus de contrôle dans vos virages.   Avantage des skis courts : Plus grande maniabilité, idéale pour les virages rapides. Plus légers et faciles à manœuvrer. Plus adaptés aux terrains étroits et encombrés. Pratique pour les skieurs moins expérimentés, polyvalents et débutants en freeride. Le modèle de ski freeride à choisir dépend donc de votre niveau en ski hors-piste, des sensations que vous recherchez, des conditions de piste et de votre gabarit. Une agence de location ou de vente de ski pourra vous fournir des conseils plus précis et personnalisés pour vous aider à choisir vos skis hors-piste. Quels bâtons ski hors piste choisir ? Pour du ski freeride, il vaut faut des bâtons avec des paniers larges. Les paniers larges sont importants car ils permettent à vos bâtons de ne pas s’enfoncer dans la neige. Ainsi, vos bâtons pourront vous apporter un appui solide sur la neige molle et sans vous gêner. La balise émetteur – récepteur (DVA) : incontournable de l’équipement ski hors-piste. Le DVA (dispositif de recherche de victimes d’avalanche) est un appareil électronique essentiel pour la sécurité en montagne.    Cette balise ski hors-piste fonctionne de concert avec d’autres DVA. Si une personne est victime d’avalanche, sa balise émetteur va envoyer des signaux (ondes) qui vont être captées par les autres balises émetteur – récepteur. Chaque membre du groupe à sa propre balise émetteur directement sur soi et non dans le sac à dos.   En général, un DVA bien utilisé peut localiser un point d’ensevelissement avec une précision allant jusqu’à 1 à 2 mètres voire moins. La sonde. Une fois la personne ensevelie localisée avec le DVA, la sonde permet de savoir précisément où et à quelle profondeur elle se trouve sous la neige. La pelle. C’est l’outil qui va bien évidemment être utilisé pour dégager la personne ensevelie sous la neige. Elle est modulable, c’est-à-dire qu’elle se démonte facilement pour une meilleure praticité de rangement. Le sac. Des sacs spécifiquement conçus pour la pratique du ski hors-piste existent. Leur capacité d’environ 20 à 30 litres permet de contenir tous les équipements de sécurité indispensables à la pratique du hors-piste. Un sac avec des sangles de fixation pour les skis facilite le transport de ces derniers. Pour plus d’agilité et de confort durant votre pratique, optez pour un sac ajusté. Par ailleurs, il y a certains sacs hors-piste qui disposent d’un système airbag avalanche, pratique non? La trousse de premiers soins. On n’est jamais à l’abri d’une blessure ou d’un accident en hors-piste, le risque 0 n’existe pas. Quand vous vous trouvez éloigné des zones d’intervention, les délais pour atteindre un centre de secours ou attendre l’arrivée de l’aide peuvent s’allonger.La trousse de premier secours, même si elle n’est pas considérée par tous comme un must-have de l’équipement ski hors-piste, c’est une assurance supplémentaire en cas d’accident. Equipement pour le ski hors-piste, rien de plus? La liste que nous vous avons fourni recense l’indispensable de l’équipement ski hors-piste. Cependant, selon vos besoins, il est possible d’ajouter du matériel supplémentaire tel qu’une lampe frontale (pour les sorties tôt le matin ou en fin de journée), des collations énergétiques, une batterie rechargeable qui est utile en cas d’imprévu ou de panne de batterie (les téléphones ont tendance à se décharger plus vite avec le froid) et plus encore… Vous avez d’autres suggestions d’équipement ski hors-piste utile? Partagez-le dans les commentaires.   Bon on ne le rappelle pas mais les vêtements techniques (thermiques) et confortables, le casque, le masque de ski et les après-ski font parti de l’équipement de ski basique, que vous soyez en piste ou hors-piste. Procédure de niveau 1 à suivre en cas d’avalanche. Une avalanche survient … Je ne me suis pas fait emporté mais l’un de mes camarades est sous la neige, que faire ?   Dans un premier temps, je sécurise ma position en gardant une vue d’ensemble et en m’assurant notamment qu’une nouvelle avalanche ne menace pas de m’emporter.   Ensuite, j’alerte les secours de la situation afin qu’ils puissent intervenir le plus rapidement possible.   J’active mon DVA en mode recherche. Tous les membres du groupe hors de danger activent leur DVA en mode recherche. De cette façon, il est possible de localiser les fréquences émises par le DVA du

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